Z. KODALY : Sonate pour violoncelle seul op.8
J.S. BACH : Suite pour violoncelle seul BWV
1009 N°3 en Do majeur.
Gaspar CASSADO : Suite pour violoncelle seul.
Né en 1988 à Orléans, Jérémie BILLET débute le violoncelle à l’âge de huit ans au sein des classes à horaires aménagés du Conservatoire à Rayonnement Régional de Boulogne-Billancourt.
Il intègre très vite la classe de Xavier GAGNEPAIN et obtient un premier prix de violoncelle mention très bien en 2007. Il suit également la classe d’Hortense CARTIER-BRESSON, où il est récompensé la même année d’un premier prix de musique de chambre à l’unanimité en quatuor à cordes.
Jérémie poursuit ses études au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Jérôme PERNOO et y obtient en 2013 son diplôme de master mention très bien à l’unanimité avec les félicitations du jury.
Par ailleurs, il se perfectionne dans les classes de musique de chambre de Claire DESERT, Marc COPPEY et Bertrand CHAMAYOU.
Jérémie participe à de nombreux festivals et concerts notamment salle Cortot, salle Pleyel, Cité de la Musique, salle Gaveau, aux festivals de la Roque d’Anthéron, d’Avignon, de Saint-Denis, de Sully, au festival Présence, Messiaen, aux « cello biennales d’Amsterdam », au festival « les vacances de monsieur Haydn » ainsi qu’à la « Folle Journée » de Nantes, de Niigata ou encore à l’« International Festival of Modern and Contemporary Music » de Traiettorie, …
Soucieux de diversifier sa pratique artistique, Jérémie joue également au sein de diverses productions en partenariat avec des comédiens et des danseurs notamment lors de sa participation à la résidence d’artistes « performing arts forum », au spectacle « les Impressionnistes », aux performances de l’artiste plasticienne Marina DE CARO ainsi qu’en collaboration avec le collectif théâtral « La Palmera ».
Jérémie est amené à se produire sur de multiples scènes internationales notamment en Italie, en Espagne, en Russie, au Liban, en Suisse, en Angleterre, en Allemagne, aux Pays-Bas ainsi qu’au Japon.
Sa carrière de concertiste l’amène à côtoyer des artistes comme Hortense CARTIER-BRESSON, Claire DESERT, Emmanuel STROSSER, Hae-Sun KANG, Christophe POIGET, Jean-Marc PHILIPS, Mathieu HERZOG, Olivier CHARLIER, Antoine TAMESTIT ou encore Guillaume VINCENT avec lesquels il participe à de multiples concerts de musique de chambre.
Il est invité par Xavier GAGNEPAIN à participer à l’enregistrement de l’intégrale de l’œuvre pour violoncelle de Fauré au cours de l’année 2007.
En 2011, il joue aux cotés de Adrien JURKOVIC le double concerto de BRAHMS sous la direction de Maximilian FROSCHL.
Passionné par l’acte de création et la découverte de nouvelles œuvres, Jérémie commande et interprète de nombreuses pièces en collaboration avec des compositeurs tels que Dimitri TCHESNOKOV, Maxence GRIMBERT-BARRE ou encore Aurélio EDLER-COPES.
Avec Romuald GRIMBERT-BARRÉ, Jérémie fonde en 2013 le trio Hélianthème avec lequel il intègre la classe du Trio WANDERER au CRR de Paris, et participe à deux reprises aux ensembles en résidence au festival de la Roque d’Anthéron en 2014 et 2015.
Jérémie est invité à de nombreuses reprises à participer à l’ensemble de chambre d’excellence « La Folle Journée Camerata » créé par René MARTIN lors de productions diverses qui l’ont amené à se produire notamment à la « Folle Journée » au Japon, aux Moments musicaux de L’Hermitage à La Baule ou encore à la « Folle Journée » de Nantes.
En 2015, Jérémie intègre la « troupe » du Centre de musique de chambre de Paris implantée à la salle Cortot sous la direction artistique de Jérôme PERNOO qui vise à promouvoir la musique de chambre et les jeunes interprètes professionnels en renouvelant la perception du concert.
Désireux de transmettre sa passion de la musique et du violoncelle, Jérémie intègre la formation à l’enseignement au CNSMDP et obtient son Certificat d’Aptitude en 2016.
Jérémie joue actuellement sur un violoncelle de Franck RAVATIN fabriqué pour lui en 2013.
EXTRAIT : Les Ailes du Bourak - adapté de Anouar Brahem
Erick Pigeard accorde le séraphin
“Contreverres & Basse à Pied”, duo instruments de verre/contrebasse, est né en 2006 à l‘occasion du festival “Des Moults des Notes”, manifestation réunissant les mondes de la musique et du vin.
Il propose un répertoire original, ancré dans le jazz et l‘improvisation. Le public est invité à découvrir un matériau aux propriétés sonores et musicales étonnantes : le verre.
Frotté avec les doigts au “Séraphin”, frappé avec de fines baguettes de au “Carillon de verre” ou utilisé sous tous ses aspects sonores le long des branches de “l‘Arbre à verre”, le verre ne cesse de nous surprendre et nous fasciner.
La contrebasse, tantôt véloce et dynamique, tantôt rêveuse, apporte sa voix grave, chaude et boisée, comme un écrin de basses, rondes, terrestres et généreuses à chacune de ces “performances”.
De cette rencontre naît un univers sonore inédit, “inouï” (au sens premier du terme), où l‘énergie le dispute à la fascination.
PROGRAMME :
Annobon, - Aldo Romano
Elm, Richie Beirach
7éme ciel, - Erick Pigeard
Valse à papa, - Pierre Léger
Gédéon, - Erick Pigeard
Chanterelle, - Pierre Léger
Blue Sky, - Pierre Léger
Par les yeux du lynx, - Erick Pigeard
Les Ailes du Bourak, - Anouar Brahem
Suite ( Méditation - Sur la pointe des pieds - En sol) solo de contrebasse,
Caravan, - Duke Ellington
Le séraphin est accordé par la hauteur de l'eau versée dans chaque verre
Le carillon a été construit par Erick Pigeard, avec des verres soufflés à la bouche et percés par un souffleur de verre, Fluid, deux ans d'essais pour la mise au point de l'instrument.
L'arbre à verres comprend des verres contenant de l'eau et d'autres pas.
Biographies :
Erick Pigeard :
Après des études de percussion au CNR de Tours puis à celui de Saint-Denis de la Réunion, Erick Pigeard étudie l’improvisation jazz avec Philippe Macé et François Janneau. Il débute alors une carrière musicale placée sous le signe de l’éclectisme et de la curiosité. Il joue avec bonheur aussi bien à l’orchestre classique que dans des ensembles de musique contemporaine, en formation jazz, ou de chanson française.Il participe à des spectacles de théâtre et de danse, en tant que compositeur et interprète.
Depuis 2003, il s’intéresse à la musique de verre, jouant d'abord du séraphin (harpe de verre), et crée le "carillon de verre" et "l'arbre à verre" en 2011, en collaboration avec Fluïd (souffleur de verre).
Il participe en 2011, 2012 et 2013 aux projets "Naphtaline Orchestra" et "Ez3kiel Extended" du groupe Ez3kiel (électro/rock).
Il est membre de la Cie du Coin (arts de la rue) depuis 2001.
Titulaire de Diplôme d’État de percussion, il poursuit, parallèlement à ses activités de musicien, une carrière d’enseignant.
Pierre Léger :
Après un cycle complet d’études au CNR et une licence à la faculté de musicologie de Tours, Pierre Léger étudie le jazz au CIM à Paris et à Jazz à Tours.
Il aura le plaisir de rencontrer de nombreux musiciens comme : Dave Liebman, Steve Lacy, Ron Mac Clure, Marc Johnson, Joëlle Léandre, Carlos Zingaro, Jean Luc Capozzo, Ed Sarath ....
Dés 1990, il joue principalement avec le trio “Cache Cache” en compagnie de Jean Aussanaire - saxophones et de Francis Genest - percussions, le trio parfois accompagné d’invités comme Ed Sarath, les Saxpériment... s’est produit dans les festivals, les scènes nationales et les clubs de Jazz en France et en Europe.
1er prix du concours national de jazz “Radio France “, cette formation a enregistrée trois disques (labell AA live au Petit Faucheux).
En 1998, il rejoint la Cie Marouchka (Francis Plisson Chorégraphe) et participe à de nombreuses pièces chorégraphiques.
Depuis 2006 dans le souci de privilégier les formules acoustiques on peut l’entendre en duo avec Alain Grange au violoncelle dans « Basse Fréquence » , “Quasi Guitara” avec Jean Noël Galard à la guitare, en trio dans « Anima » Sarah Colomb violon et A. Grange violoncelle, il accompagne également le trio jazz vocal « Les Airelles ».
Nous nous excusons auprès de notre public, et sommes forts marris du fait que Redha Benabdallah nous ait fait faux bon, et que l'extrait vidéo, seul, représente un peu ce pour quoi nous avions passé un contrat avec le groupe pour ce concert. Et encore, sans le oud et la kwîtra prévus !
Nous avons été déçus, le concert donné des chants de trouvères n'était pas ce que le public attendait.
Le chanteuse a une voix magnifique, nous étions contents malgré tout de l'entendre,
Nous n'avions pas été prévenus par eux-mêmes ou leur agent, avant qu'ils ne soient arrivés à la chapelle !
Antoine Guerber, directeur artistique de l’ensemble Diabolus in Musica et Redha Benabdallah, joueur de oud et de kwitra, spécialiste de la nawba algérienne, ont décidé de créer ce programme en commun, mêlant musiques médiévales française et arabe.Cette collaboration ambitieuse recrée l’univers sonore méditerranéen du XIIe siècle. Le programme dévoile ainsi l’art musical subtil et magnifique des anciennes dynasties arabes, et fait revivre les extraordinaires poèmes et musiques des trouvères français.
L’amour courtois fait naître au XIIe siècle un extraordinaire mouvement de création poétique et musicale au sein d’une société qui aspire à un nouvel art de vivre. Cet amour idéalisé pour une dame inaccessible doit subir de fortes tensions, surmonter de nombreux obstacles dressés entre les amants : l’éloignement, les guerres, les croisades, les interdits de l’ordre féodal...
Les thèmes des chansons courtoises sont présents depuis longtemps des deux côtés de la Méditerranée.
En effet les textes du corpus poétique de la nawba Algériennes ont principalement liés aux grands topoï de l’amour arabe, généralement sous la forme de blasons et de descriptions exaltées du corps de l’aimée. Ainsi, l’amour, l’absence, la boisson, la nature – le plus souvent le jardin et les fleurs qui le composent – sont déclamés et scandés. Mais il faut souvent appréhender cette poésie au second degré, elle devient alors mystique.
Les liens entre Orient et Occident, révélés par la monodie des XIIe et XIIIe siècles, s’imposent comme une évidence, permettant de mettre en lumière l’art du chant et celui de l’accompagnement instrumental de part et d’autre de la Méditerranée. Ainsi, chansons des trouvères et troubadours et chansons arabes se répondent sur des modes parfois très voisins, accompagnées à la harpe, la vièle, et par les deux instruments emblématiques de la tradition algérienne : le oud et la kwitra.
Nous sommes Diabolus in Musica*, c’est à dire avant tout un ensemble de passionnés des musiques du Moyen Âge, cette période longue et éloignée de nous mais qui a forgé toute notre culture et fait ce que nous sommes, une période encore trop méconnue et étonnamment brillante, inventive, surprenante, qui a formé notre langue, construit les cathédrales, fait naître nos villages et villes, inventé la polyphonie et des musiques merveilleuses…
Diabolus in Musica est constitué d’une équipe de chanteurs et instrumentistes fidèles regroupés autour d’Antoine Guerber, profondément investis dans les répertoires exigeants des musiques médiévales avec deux grandes spécialités, les chansons des trouvères et les polyphonies à voix d’hommes, du XIIe siècle jusqu’à la Renaissance. Concerts dans les plus grands festivals du monde entier, enregistrements encensés par la critique ainsi que de très nombreuses activités pédagogiques sont les principales activités de l’ensemble qui mettent en avant les fortes personnalités de nos interprétations tentant toujours de cerner au plus près la sensibilité et la mentalité médiévales.
Diabolus in Musica, c’est aussi une équipe administrative au très grand professionnalisme et un conseil d’administration qui guide l’ensemble, grâce aux conseils avisés d’amis, d’historiens, de musicologues.
Enfin, Antoine Guerber et Diabolus in Musica sont également les créateurs du festival Les Méridiennes, un évènement attachant, convivial et particulièrement original !
* le nom de notre ensemble « diabolus in musica » est une référence à un texte attribué à un théoricien du XIIIe siècle qui désigne ainsi un intervalle de trois tons entre deux sons, qui est une dissonance à éviter absolument dans une polyphonie. Sinon, le diable s’introduit dans la musique…
C’est un plaisir et un honneur de faire revivre ces beautés musicales du Moyen Âge, souvent inédites et oubliées depuis plusieurs siècles. Nous les « recréons » en concerts et en disques avec nos sensibilités de musiciens du XXIe siècle car elles peuvent toucher très profondément le public d’aujourd’hui. »
Daniel "SEISOKU" LIFERMANN,
FONDATEUR de LA VOIE DU BAMBOU
"La flûte m'attend depuis toujours. Je saisis ce vieux morceau de bambou. J'hésite un peu avant de poser mes lèvres sur l'embouchure.
Expiration et inspiration profondes.
Le vide se fait en moi.
Je vais jouer une musique sans âge, me perdre dans ses méandres jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de distance entre elle et moi."
FORMATION
Né en 1950, Daniel LIFERMANN étudie la flûte traversière avec Fernand CARATGÉ à l'École Normale de Musique de Paris (1970-1974). Lors d'un voyage au Japon en 1983 il s'initie au shakuhachi.
Dès son retour en France, il étudie avec Franck NOÊL, ancien élève de Katsuya YOKOYAMA.
En 1989, il rencontre Yoshikazu IWAMOTO (lui-même disciple de Katsuya YOKOYAMA) dont il recevra l'enseignement jusqu'en 1997.
Daniel LIFERMANN a également étudié avec Gunnar JINMEI LINDER (élève de Goro YAMAGUCHI, trésor national vivant)
En 2000 il devient disciple de Teruhisa FUKUDA (élève de Kohachiro MIYATA) avec lequel il organise régulièrement des stages intensifs.
En 2008 il reçoit de Teruhisa FUKUDA le diplôme de Dai Shihan (grand maître) ainsi que le nom SEI SOKU ("souffle de sagesse").
Enseignement et transmission
À partir de 1988, Daniel LIFERMANN enseigne le shakuhachi et, en 1994 il fonde avec quelques élèves l'association La Voie du Bambou, dont le but est la pratique et la diffusion du shakuhachi.
Il travaille alors sans relâche à transmettre ce qu'il a reçu des différents maîtres avec lesquels il a étudié.
Considérant que "la Tradition n'est ni le fruit du passé ni celui du futur mais un temps prophétique qui plonge dans l'intemporel et s'incarne dans l'instant * ", Daniel LIFERMANN ouvre son champ d'investigation aux créations contemporaines.
* Annick de SOUZENELLE "Le symbolisme du corps humain", Dangles éditions
MEDIAS
Daniel LIFERMANN se produit régulièrement en concert de musique traditionnelle japonaise.
Il participe également à des créations en musique contemporaine et de théâtre musical.
Il intervient en milieu hospitalier et carcéral.
Daniel SEISOKU LIFERMANN 聖息
Dai Shihan (grand maître)
Concerts de musique traditionnelle japonaise :
Inauguration de l'exposition Galeries Les Japons des Galeries Lafayettes, 1988
Concert à la Maison des cultures du Monde, 1990 (Flûtes du Monde)
Concert avec Brian YAMAKOSHI, Koto. Espace Turquetil, Paris 1996
Veillée inter-religieuse, Mouvement pour la Paix, Saint-Denis 1998
Concert à La Sorbonne pour un colloque sur J.-P. Sartre et le zen (mars 2004)
Rencontre avec la musique du Japon Auditorium Selmer (Paris décembre 2004)
Concert à l'église St André d'Angoulème (septembre 2005)
Centenaire de la création de "La Mer" de Debussy, Théâtre des Champs Elysées (novembre 2005)
Concert pour les Premières Rencontres Internationales de Peintures calligraphiées à l'encre de Chine organisées par Robert Faure (Centre Karma Ling, juillet 2006)
Festival de musique japonaise, Espace Bertin Poirée (Paris, novembre 2007)
Concerts au Musée GUIMET (Festival "Au fil du Mékong") (Paris, 6 et 7 mars 2009) et avec l'ensemble Hijiri Kai (11 décembre 2009)
Destination Japon Association France-Japon (Dijon, 25 juin 2011)
"Gambaro !" Spectacle de soutien aux sinistrés du Japon (Issy-les-Moulineaux Espace Icare, 2 décembre 2011)
Médiathèque d'Aurillac (31 mars 2012)
Festival pour la Paix Grande Pagode du Bois de Vincennes. Lama Gyourmé chants sacrés tibétains, Véronique Jannot (22 septembre 2012)
Concert au Musée Guimet avec l'ensemble Hijiri Kai et les musiciens de La Voie du Bambou (25 janvier 2013)
Concert dans le cadre de l'exposition "Le bambou au Japon : un art de vivre" par l'association MINATO Le Havre (novembre 2013)
Fête de l'Ane, ville de SENS 24 janvier 2015
Concert à Vicenza (Italie) festival "Haru no Kaze" (mars 2015)
Concert à la Médithèque de Cergy-Pontoise (août 2015)
Concert à Corvallis (USA septembre 2015)
Concert à Bordeaux - Association "Trace une Diagonale" (mars 2016)
Concert au conservatoire de musique de Joigny (89) (mai 2016)
Concert aux Musicales de St Germain Argens-Minervois (juillet 2017)
Spectacles lyriques, théâtre musical, contes :
Spectacle Le Silence de la Neige avec l'acteur de NÔ Osamu KUROÏ, 1991
Spectacle Jean-Baptiste, fils de la lumière, Théâtre des 7 sources, 1992
Opéra Col Canto de Claire RENARD, Ensemble ARS NOVA, (dir. P. NAHON) 1995
Spectacle Les Contes du Destin avec le conteur Alain GAMICHON, 1998
Le quotidien et le sacré pour NÔ, créations sonores et shakuhachi 2001 (Tenri, Paris)
Périples spectacle pour conteur et shakuhachi 2001-2002 (Paris et tournée province)
Les aventures de la Princesse Lierre Nô-Opéra d'Atsuko Majima (Espace Kiron février 2005)
Nuits de la poésie à la Maison René CHAR à l'Isle-sur-la Sorgue avec Daniel MESGUICH (21 juillet 2006)
Au bord des marges, spectacle de Madeleine Esther à la Maison des Métallos (décembre 2008)
La mémoire des possibles - Spectacle de soutien pour les Indiens Kogis avec Pierre Richard (Théâtre Comédia, Paris 22 mars 2010)
Spectacle "Sous les fleurs d'un monde flottant" Haïku et shakuhachi - Maison de la Culture Ambérieux avril 2016
Musique contemporaine :
Concerts avec le Bamboo Orchestra, 1999-2000
Création de Ukibashi pour piano et shakuhachi de Yuko HIROTA 1999-2000
Concerts Salle Cortot et Unesco avec T. FUKUDA (oeuvres de K. IZUMI) 2000-2001
Concert avec l'ensemble Prokontra au CNR de Poitiers (janvier 2003)
Création des plis du ciel de Claire RENARD, ensemble EOC (Marseille mai 2003) (Futurs Composés, Paris 18 septembre 2010)
La Muse en son jardin de Claire RENARD, ensemble ARS NOVA (Paris, septembre 2003 et décembre 2006)
Un Japon Imaginaire spectacle innovant avec Dorothée Goll voix, Hugues Vincent Violoncelle (Théâtre municipal de Sens, mars 2012 - La Vieille Grille, Paris juin 2012)
Le CERCLE. Orchestre unique propose à l’auditeur une vraie expérience sensorielle et artistique. Les musiciens sont en cercle et entourent le public, qui est ainsi au coeur de la musique en train de naître. Associant composition, création d’espace sonore et improvisation, Le CERCLE tisse un pont entre les cultures japonaise et occidentale, convoquant, tout en la recréant pour l’auditeur, une mémoire collective, à la fois vivante et inventée, la composition tirant de l’imaginaire collectif des bruissements de notre histoire (le cinéma d’Ozu, celui de Kurosawa, Bach, Debussy, la musique traditionnelle japonaise, Duke Ellington, Ravel, Gershwin, le rire de Bibi Anderson, la voix de Jeanne Moreau…) Avec : Gaël Mevel Violoncelle et composition, Jacques Di Donato Clarinette, Thierry Waziniak Percussions, Nicolas Nageotte Clarinette basse, Jean-Luc Capozzo Trompette et Bugle, Diemo Schwarz Création électro-acoustique, Daniel Lifermann shakuhachi. (Paris, Maison de la Culture du Japon, 15 octobre 2016)
Médias :
Émission Le jour du seigneur (Antenne 2, 1986)
Émission La mémoire vive (France-Musique, 1989)
Émission Moussaîa (France 3, 1997)
Participe à l'enregistrement des musiques de plusieurs téléfilms (C. LAPINTA, 1999)
Émission À l'improviste avec C. DELANGLE saxophone (France-Musiques 2001)
Alla Breve (France-Musiques) shakuhachi et électroacoustique d'E. Mieville (mars 2004)
Atelier de Création Radiophonique France-Culture "Un Japon Imaginaire" (6 septembre 2012)Conférences et démonstrations :
Conférence sur le shakuhachi à l'école des Mines - Synergie France-Japon (Paris avril 2005)
Festival du Thé, cérémonies du Thé avec maître Gilles Maucout (Bourse du Commerce, novembre 2005)
Master classe au CNR de Cergy-Pontoise (mars 2006)
Anime un atelier sur le thème "Souffle et Spiritualité" lors des Rencontres Européennes du Shakuhachi (Munster 2007, Londres 2011)
Concert-conférence à l'école Normale Supérieure de Paris dans le cadre d'une semaine japonaise (mars 2008)
Conférence et concert à l'université Paris VII - Diderot (Paris, décembre 2007 et octobre 2009)
Interventions en milieu hospitalier (ASM13 psychiatrie 2007, 2008, 2009) et carcéral (centre de détention de Val-de-Reuil 2010)
Pour la création de ce spectacle, nous avons sélectionné vingt quatre chansons, parmi elles bien sûr, les célèbres «Moi, mes souliers» et «Le petit bonheur».
Mais pas seulement: nous avons travaillé dans le souci de faire découvrir une autre facette du personnage. Humour, poésie et tendresse.
Félix Leclerc était un excellent fabuliste, qui n’hésitait pas à s’amuser comme dans «l’héritage» ou à s’engager dans le combat pour l’indépendance du Québec, dans «l’alouette en colère».
L’œuvre de Félix Leclerc comporte une trentaine de livres, une quinzaine de pièces de théâtre et environ 200 chansons.
Programme (l'ordre des chansons peut être modifié)
1 - J’inviterai l’enfance
2 - Texte « Pieds nus dans l’aube » (extrait)
3 - Y’a des amours
4 - Le bal
5 - Texte « Le loup »
6 - La mort de l’ours
7 - Attends-moi Ti-Gars
8 - Les soirs d’hiver (a capella)
9 - Texte « Le bonheur autour de la table »
11 - Sur le boulot (a capella)
12 - Notre sentier
13 - Le pharmacien
14 - Tirelou
15 - Petit Pierre
16 - Le roi heureux
17 - La complainte du pêcheur
18 - Texte « Les moutons sur la rivière »
19 - La fille de l’île
20 - Francis
21 - Do, ré, mi
22 - Contumace
Hélène MAURICE, fille du Québec
Installée aux marches de la Touraine depuis bientôt vingt ans, Hélène Maurice poursuit son bonhomme de chemin dans l’univers de la chanson en interprétant, avec autant de cœur que de sensibilité, les plus belles chansons des grands auteurs québécois et français. En marge des circuits commerciaux, Hélène Maurice s’est bâti une réputation bien méritée auprès d’une foule d’amoureux des beaux textes, séduits par le talent majuscule d’un bout de femme minuscule. Hélène Maurice est l’une des très rares chanteuses à vivre dans une ferme inondée d’animaux, avec une personnalité bien à elle, plutôt nature que paillettes. Guère étonnant qu’elle se sente si à l’aise dans les répertoires d’auteurs exceptionnels tel que Félix Leclerc ou Gaston Couté. Elle partage en effet la même sincérité, la même chaleur, qui forcément, réchauffe le public à chacun de ses concerts !
http://helenemaurice.free.fr/index.html
Francis JAUVAIN - Accordina, accordéon et saxophone baryton. Musicien d’origine populaire, né sur le plateau de Langres(Haute-Marne) habitant Angers et Paris, après avoir exercé plusieurs métiers, (dessin génie civil, maquette architecturale, architecture d’intérieur, photogravure) je me forme au jazz au CIM à Paris avec Xavier Cobo, Bernard Duplex et Jean-Claude Fohrenbach, puis à la musique classique et contemporaine dans la classe de saxophone de Jean-Pierre Caens au CNR de Besançon où j’obtiens les médailles d’or de soliste, musique de chambre et le DEM. J’ai suivi également la formation du C.A. de saxophone à Aix en Provence.
Lauréat du Concours National de Jazz de la Défense à Paris en 1992 à l’accordina.
Je poursuis durant mes études en parallèle du CNR, des master-classes avec Jerry Bergonzi, John Surman, Jacques Di Donato, Etienne Rolin, Henri Fourès, sur l’interprétation, le langage contemporain, la pédagogie et l’improvisation.
J’utilise aussi bien l’accordina que le saxophone baryton pour m’associer avec des musiciens de diverses origines. En parallèle, je me forme à l’informatique musicale.
Actuellement inscrit au Conservatoire de Montreuil-sous-Bois dans la classe d’accordéon de concert «bayan» d’Anthony Millet. (Onglet ACTUALITÉ- Extrait audio)
Invité par la fédération de jazz Estonienne pour jouer avec les musiciens du pays, je joue et j’enregistre avec différents artistes: Bia, Abed Azrié, Gérard Pierron, Georges Moustaki, Jacques Bertin, Valérie Ambroise, Hugues Aufray, Faouzi el Aidi, Maria-Thérèsa Ferreira, Paco Ibanez, Titi Robin, Ouria Haichi, Allain Leprest, Marcio Faraco, Pierre Barouh, Nilda Fernandez, Monique Brun, Natacha Ezdra, Hélène Maurice, et l’excellent groupe... Sale Petit Bonhomme,...et d’autres moins connus, mais ayant aussi du talent...
Les rencontres musicales m’ont permis de voyager dans différents pays étrangers et de jouer dans divers festivals (des plus grands aux plus petits) en France et à l’étranger et salles de spectacles (idem).
Je compose et j’arrange pour la claquettiste Ghislaine Avan ( Compagnie Tempo Cantabile, Italie), ainsi que la Compagnie Goûtes-y-Donc en coproduction avec Enfance et Musique, le théâtre de la Ville en Bois à La Rochelle (René-Claude Girault) et le Ballet Atlantique Régine Chopinot (BARC) de la Rochelle.
Enfin, faisant partie du collectif GONZO de Parthenay je joue dans le groupe Sale petit bonhomme (suivre l’onglet liens à consulter).
Sociétaire de la SACEM en tant que compositeur, arrangeur et improvisateur de musique vivante.
http://www.accordina.net/
Tony BAKER
Né le 21 mars 1954 dans la banlieue londonienne, il étudia la musique et la composition au Trinity College (Cambridge) puis acheva, en 1982, un doctorat d’État sur le poète américain William Carlos Williams. Il effectua par la suite de nombreux emplois différents, allant de celui de directeur d’auberge de jeunesse dans le Northumberland, à répétiteur dans une école de ballet. Il a contribué à de nombreux projets, impliquant à la fois danseurs, musiciens, peintres et poètes. De 1980 à 1989, il dirigea le magazine Figs, une revue britannique de poésie objectiviste. Ses œuvres et critiques ont été publiées au Royaume-Uni, au Canada, aux États-Unis, au Japon, en République Tchèque, en Irlande et en France. Il a notamment publié une dizaine de plaquettes et recueils de poèmes, et fut traduit en français et en tchèque.
En 2005, sa collection de poèmes, In transit, fut publiée par Reality Street Editions.
http://www.twoscompany.fr/fr/tony
Association « Les Amis de Sainte-Cécile »
chez Mame Monthulé Sylviane
14 rue Saint Jacques
Château du Loir
72500 MONTVAL sur LOIR
Association « Les Amis de Sainte-Cécile »
L’association a pour but de participer à la restauration et à l’animation culturelle de la chapelle Sainte-Cécile.
Nous nous permettons de rappeler à nos adhérents et à notre public des concerts que nous n'avons que très peu d'aides financières pour payer les cachets des artistes et les locations de pianos, les programmes et les flyers, non plus pour le "pot" de fin de soirée. Nous tenons au principe de l'entrée libre, mais rappelons que le chapeau à la sortie est, avec les adhésions, notre seul moyen de continuer les animations et la participation à la restauration de la chapelle. Merci de votre soutien.
Vous pouvez adhérer au moyen du bulletin ci-dessus. Les cotisations versées par les adhérents peuvent ouvrir droit à la réduction de 50% d’impôt prévue à l’article 200-2 du CGI (Code des Impôts). Exemple : 30€ versés = 15€ de déduction.
L'association envoie un reçu, tous les ans , en même temps que l'invitation à l'assemblée générale, conforme au modèle-type fixé par l’arrêté du 25 octobre 2000 qui pourra être annexer à la déclaration de revenus.
Pour les dons exceptionnels, un reçu est envoyé sur demande.
Les dons effectués ouvrent droit à une réduction de l'impôt sur le revenu à hauteur de 66% du don et dans la limite de 20 % du revenu imposable.
Exemple : un don de 100 euros = 66 euros d'économie d'impôt
* Nous souhaitons mettre à jour les adresses courriel et les numéros de téléphone des membres afin de faciliter la communication : aidez-nous en écrivant votre email très lisiblement et en script (respectez les majuscules, SVP ). Merci beaucoup.
Concerts au chapeau, pas de réservations
sauf personnes à mobilité réduite.
(une rampe est prévue)
Des bancs sont installés devant la chapelle pour attendre l'ouverture des portes à 16h30.
Nous vous rappelons que le chapeau est présenté à la sortie
pour permettre à l'association de poursuivre ses objectifs,
animation et participation à la restauration.